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marie
chère maman ,chers parents,lire le poème de nadou du 14 mars 2016, il parle de ce que nous endurons p
Par Marie , le 02.02.2022
marie , pour anonyme , lire aussi le texte de nanou du 14 mars 2016, ,il décrit " avec des mots " ce que nou
Par marie, le 01.02.2022
chère maman,anonyme,
oui, la souffrance nous écrase, nous étouffe,notre vie et notre coeur sont envahis par
Par marie, le 01.02.2022
bonjour je suis une maman qui ne se remet pas d'avoir perdue sa fille de 10 ans l'été dernier. je ne sais plus
Par Anonyme, le 01.02.2022
chère anonyme, je comprends votre immense douleur ,cette souffrance qui imprègne notre coeur , notre corps,
Par Anonyme, le 30.12.2021
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· Décédé le vendredi 12 octobre 2012
Date de création : 27.03.2013
Dernière mise à jour :
29.12.2019
69 articles
Dans notre société, la mort est un sujet tabou, d'ailleurs parler de mort est choquant, on parle de décès pour les plus osés, de départ : "votre enfant est parti", "il s'est endormi", les euphémismes sont nombreux pour fuir la réalité (même les médecins les utilisent).
De même, le silence se fait autour de l'être disparu, personne n'ose en parler, les voisins, les collègues, les amis, la famille elle-même parfois, tous se taisent. L'omerta. Tous essayent d'oublier, pourtant, la mort est bien au bout du chemin pour tout le monde.
Tant que l'on n'est pas personnellement touché par la mort d'un enfant, on oublie, l'être humain a la mémoire courte, une empatie de passage et vite on reprend sa route afin de se protéger. Mais dans les familles, le vide est bien là : "l'absence est présente en permanence".
Même le mot "mort" fait peur. Parfois on se croirait dans Harry Potter : "tu sais qui" .
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Autour de moi, les gens se créent des censures : ne pas parler de déces d'enfants, ne pas prononcer le nom de mon fils même si c'est pour parler d'un autre enfant qui a le même prénom, ne pas faire de gaffe. Pourtant, il a bien existé, il est dans mes pensées et j'ai besoin de parler de lui, même si c'est au passé. Et puis les grosses gaffes, les énormités, il y en a toujours pour s'en charger à côté.
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Des regards qui se détournent pour éviter de s'adresser aux pestiférés.On connaît la manoeuvre.
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La preuve du tabou : 3 commentaires, les miens.
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